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Décès de Philippe Arfeuillère (promo 1986)
Philippe Arfeuillère est décédé ce vendredi 2 février à l'âge de 53 ans. Son départ soudain, laisse un goût d'inachevé au regard de ses qualités et de ses talents. Face à la peine et au chagrin que nous éprouvons tous, il serait le premier à nous inciter avec enthousiasme de "garder le sourire aux lèvres face aux épreuves de la vie".
Philippe Arfeuillère, est diplômé de l'ESLSCA (1986) mais aussi du MBA Marketing et Finance de Pace University (1987). Dans la foulée il réalise son VSNE, toujours à New York, chez Spotimage. Il aura ici, l'intuition de son premier roman !
De retour à Paris, après une première expérience chez Sodexo, il prend dés 1992 la décision de créer sa propre entreprise "OPTIME": société de Marketing Services spécialisée en développement des ventes dans les concessions automobiles. Il la revend en 1997.
Entre-temps son premier roman, "La fièvre au coeur" est publié (1991) et il obtient le deuxième prix bleu citron des Jeunes lecteurs de la ville de Paris. Le prix lui est remis au Salon du Livre.
Il poursuit sa carrière dans le Design et la communication successivement en qualité de Directeur de Clientèle et Directeur du Développement et de la Communication successivement dans plusieurs agences de renom de 1998 à 2006. Il trouve le temps d'écrire un second livre " Le Passant des années 2000" puis un troisième où il réalise une série d'entretiens de figures de France (il avait aussi sa carte de journaliste !). Ces rencontres l'amènent, en 2007, à devenir Président co-fondateur du mouvement "Figure de France".
En 2016, il lance les éditions du Coeur en partenariat avec"Mécénat Chirurgie Cardiaque".
Il est père de trois enfants qu'il continuera à accompagner de son amour…..
L’hommage à Philippe aura lieu paroisse Sainte Marguerite, 10 place de l’Église - 78110 Le Vésinet, vendredi 9 février à 15 h .
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Gérard Commerot
Président
Alumni ESLSCA
3 Commentaires
Philippe, après que nous nous soyons rencontrés au Conseil des Anciens, avait voulu faire mieux connaissance avec moi et nous avions déjeuné ensemble en novembre dernier.
Sa détresse était palpable, "l'enthousiasme" était absent. Je ne trouvais plus les mots pour entretenir la conversation et essayer de lui redonner un peu d'énergie pour l'aider à passer par dessus ses derniers incidents de parcours.
Avec sa disparition me restera le souvenir d'un garçon brillant, mais aussi l'amertume de l'impuissance à l'aider. Qu'il est difficile de connaître ce qu'il y a vraiment de le coeur des Hommes; qu'il est difficile de transmettre l'espérance la force d'âme et toutes vertus nécessaires pour le meilleur accomplissement de notre destin.
J'ai appris la nouvelle lundi soir, je suis plus encore que lundi bouleversé et au regret de ne pas avoir fait preuve, ou avoir eu le temps d'une plus grande humanité à son égard.
Jean-Louis DUHAMEL
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